Les amendements à la loi sur « la Lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme » rédigés par le gouvernement ont été discutés en première lecture lors de la séance de l'Assemblée nationale. L'initiative définit et élargit le cercle des personnalités influentes, les hauts fonctionnaires locaux et les personnes occupant des postes importants dans les organisations internationales, ainsi que les membres de leurs familles et les personnes étroitement liées, en tant que facteur de risque élevé de blanchiment d'argent et de financement du terrorisme. La notion de « financement de la prolifération des armes de destruction massive » est clarifiée, la BC est privée du pouvoir de suspendre les transactions suspectes ceci étant réservé au Centre du monitoring financier.