Lors de la discussion du rapport « Protection et promotion de la démocratie réelle en Europe » de la séance plénière de la session du printemps de l'APCE le membre de la délégation arménienne auprès de l'APCE Armen Gevorgyan a dit :
« Monsieur le Président,
Je suis d’accord avec l'affirmation que « la démocratie n'est pas une dictature de la majorité. » ; mais c'est malheureusement la voie empruntée ces dernières années par un certain nombre des membres du gouvernement.
Pour des raisons inconnues, le Conseil de l'Europe et de nombreuses autres organisations ont jusqu'à présent choisi d'ignorer ces tendances. J'espère que ce n'est pas le résultat d'un compromis entre les valeurs démocratiques traditionnelles et la nouvelle politique mondiale.
Deuxièmement « la responsabilité envers les autres États membres » que la vraie démocratie doit avoir, afin d'atteindre l'objectif commun, de la « justice et de la paix fondée sur la coopération internationale ». Je suis d'accord avec cela, mais je pense que les « doubles standards » doivent être supprimés.
Il est clair que la nouvelle Europe n'a jusqu'à présent pas réussi à trouver la solution la plus raisonnable et la plus moderne au droit des peuples à l’autodétermination. Nous devons réaliser que sans décisions justes et honnêtes les aspirations historiquement significatives à l'autodétermination nationale continueront à avoir un impact sur le développement démocratique, la paix et la stabilité sur le continent européen.